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La Bourse de New York a suivi l’impulsion des marchés européens. Les nouvelles en provenance de l’Europe rassurent. Côté valeurs, Knight Capital a poursuivi sa dégringolade.
Comme en Europe, Wall Street finit dans le vert ce lundi. Mais la progression est très légère. Le Dow Jones clôture en hausse de 0,16% à 13.117,51 points, le Nasdaq avance de 0,74% à 2989,91points et le S&P 500 grimpe de 0,23% à 1394,23 points.
Vendredi, la Bourse de New York avait terminé en nette hausse, portée par la publication de chiffres mensuels de l’emploi américains meilleurs qu’attendus. L’enthousiasme avait toutefois été plus contenu qu’en Europe.
Aujourd’hui, l’attention des investisseurs est revenue sur l’Europe où l’on guette une possible demande d’aide européenne en Italie et surtout en Espagne. Mariano Rajoy, le chef du gouvernement espagnol, a fait quelques pas en ce sens en fin de semaine dernière, juste après que la Banque centrale européenne (BCE) s’est dite disposée à aider les pays endettés en difficultés à condition que ces derniers demandent d’abord le soutien des fonds de stabilité.
En Grèce, la troïka a quitté le pays après une première phase de discussions sur un programme d’économies de 11,5 milliards d’euros pour 2013 et 2014. Le détail des mesures sera dévoilé en septembre.
Les cours du pétrole ont terminé en hausse de près de 1% lundi à New York, profitant à la fois de la bonne tenue des places boursières, du recul du dollar et de la persistance des tensions dans le Moyen-Orient.
Sur le Nymex, le contrat septembre sur le brut léger américain (WTI) a fini sur un gain de 0,80 dollar, soit 0,88%, à 92,20 dollars le baril. Dans le même temps, le Brent avançait de 0,60%, soit 0,65 dollar, à 109,59 dollars.
En début de séance, les cours du brut avaient pourtant été victimes de prises de bénéfices à la suite de leur bond enregistré vendredi à la faveur de bonnes nouvelles sur le front de l'emploi aux Etats-Unis et d'un optimisme prudent sur une possible résolution la crise de la dette de la zone euro. Le fait que la Chine, deuxième consommateur mondial de brut, a réaffirmé sa volonté d'affiner sa politique monétaire pour soutenir l'activité est également un facteur de soutien pour l'or noir.
Les violences en Syrie et les tensions entre l'Iran et l'Occident au sujet de programme nucléaire de Téhéran avivent les craintes des investisseurs concernant de possibles perturbations de l'offre en provenance de la région.
Sur le marché des changes, l’euro se stabilise face au dollar à 1,2364. La devise européenne a atteint, ce matin, un plus haut mensuel à 1,2444 dollar. Les cours du pétrole ont terminé en hausse lundi, soutenus par un regain d’optimisme des investisseurs, dans un contexte de tensions au Moyen-Orient et de tempêtes tropicales proches des Etats-Unis, susceptibles de perturber l’approvisionnement en brut du pays. Le baril de «light sweet crude» (WTI) pour livraison en septembre a progressé de 80 cents par rapport à son prix de clôture vendredi, à 92,20 dollars, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
La semaine s’annonce pauvre en indicateurs macroéconomique. Aucune publication majeure n’était attendue aujourd’hui. On connaîtra demain soir le crédit à la consommation en juin, mercredi la productivité au deuxième trimestre et jeudi la balance commerciale en juin.
Best Buy s’envole, Knight Capital s’enfonce
L’actualité est également calme du côté des publications de sociétés. On attend uniquement les résultats de Tyson Foods aujourd’hui. Demain, on connaîtra ceux d’Office Depot au deuxième trimestre et de Walt Disney au troisième trimestre (après Bourse). Mercredi, ce sera au tour de JC Penney et NewsCorp.
Parmi les valeurs à suivre, la firme de courtage américaine Knight Capital (-24,45% à 3,06 dollars) a confirmé lundi qu’elle avait obtenu un financement de 400 millions de dollars de capitaux qui devrait la sauver de la faillite.«L’injection de capital a été entreprise en réaction aux pertes de trading gigantesques subies par Knight le 1er août. Le titre a perdu 85% de sa valeur depuis mardi dernier.
Activision Blizzard (+2,70% à 11,42 dollars), filiale de Vivendi et numéro un mondial de l’édition de jeux vidéo, pourrait voir son titre fortement grimper en Bourse, dopé par le lancement imminent d’un nouveau jeu et un partenariat commercial en Chine, rapporte Barron’s dans son édition du 6 août.
General Motors (-0,90% à 19,86 dollars) a dit lundi avoir enregistré avec ses coentreprises chinoises au mois de juillet une hausse de 15,1% de ses ventes de véhicules en Chine.
Le fondateur et ancien dirigeant du distributeur américain d’électronique grand public Best Buy (+13,29% à 19,99 dollars), Richard Schulze, a proposé lundi de racheter le groupe moyennant 24 à 26 dollars par action, soit une prime de 36% à 47% par rapport au cours de vendredi.
Les Etats-Unis veulent profiter de la croissance en Afrique, qui tire son épingle du jeu malgré la crise mondiale, a dit lundi la secrétaire d'Etat Hillary Clinton en visite en Afrique du Sud.
"Si on regarde l'Afrique, on y voit une énorme croissance économique alors que l'économie mondiale est toujours en difficulté. Sept des dix économies qui progressent le plus vite dans le monde sont dans cette région", a déclaré Mme Clinton devant un parterre de 200 hommes d'affaires sud-africains et américains réunis à Johannesburg.
"Ces marchés émergents représentent d'énormes opportunités pour le commerce et l'investissement américains", a-t-elle ajouté.
L'Afrique du Sud est le principal partenaire économique des Etats-Unis en Afrique avec des échanges annuels de 22 milliards de dollars, a relevé Mme Clinton.
Washington est le second partenaire commercial de Pretoria, derrière la Chine et le troisième investisseur direct étranger après le Royaume-Uni et les Pays-Bas.
"Ces vingt prochaines années, l'Afrique du Sud fera de grands investissements dans les infrastructures, ce qui créera de nouvelles opportunités pour les entreprises américaines dans l'énergie, les transports et les technologies de communication, et cela se traduira par plus d'emplois pour les Sud-Africains et chez nous" (aux Etats-Unis), a assuré Mme Clinton.
Il s'agit de "stimuler la croissance et les échanges, promouvoir la paix et la la sécurité régionale et consolider les institutions démocratiques", Washington espérant nouer avec les pays d'Afrique des "partenariats plutôt que des relations de patronage". |
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